Editions Gallimard, Paris, 1990
Beaucoup ont pensé, écrit que ce roman était une autobiographie, le héros, médecin, père de famille peut effectivement paraître similaire à l'auteur. Cependant, il n'en est rien, Charles-Honoré Bonnefoy n'est pas Jean Métellus, mais le grand-père de Jérôme Garcin le critique littéraire du Nouvel Observateur. Il a été un modèle, un patron pour l'auteur, et ce roman peut être vu comme un hommage. C'est ce qu'exprime Françcoise Naudillon :
« Il restait sans doute à l'écrivain et au médecin de rendre hommage à un grand patron de médecine, Charles Honoré Bonnefoy, dont le modèle serait le professeur Garcin. Il restait à l'homme, Jean Métellus de parler de la mort et de la vieillesse. »