La préface de Claude Mouchard commence par une interrogation :
« Ecrire de la poésie, un Haïtien - fût-il poète aussi confirmé que Métellus - devrait-il se l'interdire aujourd'hui ? »
Et se termine par une affirmation :
« Jamais la poésie de Jean Métellus n'a été aussi nécessaire - aussi actuelle. »